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Le ministre des ressources animal et halieutique Soumanogo
Koutou a rencontré les acteurs d’élevage du sahel, du plateau
central et du centre en vue d’échange sur la rencontre
du salon d’élevage qui va se tenir
du 27 novembre au 1 er décembre prochain à Ouaga. Ce salon sera
une tribune nationale pour faire la promotion de l’élevage, selon
les organisateurs.
En vue de mobiliser le maximum de participants pour le salon de
l’élevage qui se tiendra du 26 novembre au 1 er décembre prochain à
Ougadougou, le ministre des ressources animales et Halieutiques
Soumanogo Koutou a rencontré les acteurs de la filière d’élevage du
sahel, du plateau centrale et du centre nord pour les sensibilisés sur leur participation au salon.
Les acteurs intervenants dans la production et la commercialisation de ces trois
régions ont échangés à bâton rompu pour le succès du salon de
l’élevage du Burkina Faso (SABEL). Le salon qui sera organisé dans
la capitale burkinabé vise à contribuer à la promotion de l’élevage et à
la valorisation des produits animaux et halieutiques à travers la
création d’une plateforme de rencontre et d’échanges entre les acteurs
du secteur. Selon le ministre en charge de l’élevage Soumanogo
Koutou, durant les cinq jours d’activités du salon, il y’aura des
conférences, des colloques des expositions, une compétition entre les
différents producteurs du Burkina Faso. Outre ces activités il y’aura
des rencontres d’échanges entre les producteurs consommateurs et
vendeurs des tables rondes d’affaires la détente et le tourisme. Les
organisateurs du salon pensent que le salon de l’élevage pourrait être
une tribune d’envergure pour la vulgarisation du secteur d’élevage et
son rayonnement financier. Pour la réussite de cet événement les
organisateurs comptent sur la participation de toutes les composantes
de la filière d’élevage. Le salon a été institué par un décret portant
création et organisation du SABEL et se tiendra chaque deux ans au
Burkina Faso. Après Dori c’est le tour de Tenkodogo de recevoir la
délégation du ministre pour les même échanges.
Inoussa ZONGO (correspondant)
