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En prélude au déjeuner de presse prévu pour se tenir le 22 octobre 2018 à splendide hôtel sur le coup de 9 heure, la confédération générale des petites et moyennes entreprises(CGPME) était face à la presse pour annoncer l’avènement de ce évènement majeurs qui réunira les acteurs du monde des affaires autour d’une même table. En effet la CGPME est une organisation faitière transversale au sein de laquelle il y a une représentions de la presse. Selon son président national, Alassane Kouanda, ce déjeuner portera une graine de convivialité entre la confédération et les différents acteurs, mais aussi apporter la sérénité dans le rang des affaires. « Ce déjeuner de presse nous permettra de nous exprimer sur l’actualité des petites et moyennes entreprises et éventuellement nous permettra de nous prononcer sur l’actualité économique national du pays, surtout des aspects qui touchent un peu l’organisation des petites et moyennes entreprises et des aspects qui touche aussi notre charte » a-t-il relevé.
Aussi sur la question de création de la confédération général des entreprises du Burkina Faso, survenue la semaine dernière, la CGPME compte donner son point de vue sur cette question majeure de façon à apporter d’avantage de cohésion entre les entrepreneurs et petites et moyennes entreprises. « Une PME dans le contexte burkinabé c’est une entreprise qui peut réaliser un chiffre d’affaire du milliard et employant plus de 30 personnes par rapport à la définition qui a été retenue dans la charte ». Egalement sur la question de la présidence du patronat qui retient pour seule candidature l’homme d’affaire Apollinaire Compaoré, Alassane Kouanda apprécie bien cette candidature car ce dernier est pétri d’expérience dans le monde des affaires. « Mais ce que je dis toujours c’est que nous avons besoin d’un leadership mais celui d’esprit et ce que nous attendons de lui, c’est qu’il mette dans son programme l’émergence des petites et moyennes entreprises qui est partenaire avec le patronat au titre de la charte » a-t-il laissé entendre.
Quant à l’atmosphère des affaires de façon général au Burkina Faso, Alassane Kouanda a confié qu’elle ne se portait pas bien dans la mesure où les petites et moyennes entreprise agonisent toujours face aux grandes. Hors mis cela le monde des affaire burkinabé souffre d’un malaise qui est celui du manque de finance à en croire le président national de la CGPME.
Flore Kini (stagiaire)