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C’est dans le cadre du projet, dénommé < Sena Bio> que l’association, women for ever entretient des travaux de jardinage. Ces travaux consistent, à la culture de plantes potagères. A cet effet, cette association a opté pour la culture du bio. Ainsi dans ces champs, soigneusement tracés a la main, on y trouve des légumes, tubercules, feuilles bio, plantés et soignés par « les femmes pour toujours ».
Le jardinage, étant l’art de cultiver et d’entretenir un jardin, à travers la culture de plante ou de plante potagère, ce métier nourrit plutôt bien son homme, a en croire les femmes de l’association, women for ever. « Le jardinage est un métier comme tout autre métier, qui permet de survenir au besoin de celui qui le pratique. Alors, pour nous femmes de cette association, les revenus que ce travail génère permet de survenir à nos besoins quotidien, plus, cela nous permet de nous occuper à longueur de journée, faisant ainsi de nous, des femmes épanouies trouvant leur bonheur dans ce travail ». A confie Clarisse Kabore, membre de l’association.
Par ailleurs, cette association a opté pour la culture du Bio « nous nous avons fait le choix de cultiver rien que du bio dans nos activités de jardinage. Pour ce faire, nous n’utilisons pas de produits chimiques dans nos champs. Ce pendant comme traitement, nous avons opté pour le fumier et nous utilisons le jus de graine de neemier pour désinfecter, en lieu et place d’engrais et d’insecticides » a relevé Clarisse Kabore. Si cette association fait la promotion du bio c’est aussi dans le but de promouvoir le mange saint. Car dit-t’elle « nous voulons aussi permettre à la population de manger sainement, car tous ces produits chimiques qui sont utilisés dans les différentes cultures peuvent être source de maladie. C’est pour cela que nous, nous cultivons rien que du bio.
La culture du bio est plus qu’une nécessité de nos jours. Mais cela a-t’ elle une conséquence positive ou négative, c’est aux consommateurs d’en juger. En effet, nombreux sont ceux-là qui veulent les produits bio, mais peut sont ceux-là qui mettent vraiment le prix, car les produits bio sont assez chère, du constat de clarisse Kaboré. Au niveau de la culture également, le fait de ne pas utiliser de produits chimiques, entraine une certaine lenteur dans la croissance des plates, ce qui n’est pas du tout un avantage pour le jardinier, contrairement à d’autre qui utilisent ces produits.
Flore KINI
« Mange sain » le jardin est situé où ?