REGGAE CITY FESTIVAL : LA 4ème EDITION BIENTOT SOUS LE FEU DES PROJECTEURS

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Du 29 mars au 01 avril prochain la ville de Ouagadougou abritera le 4e édition du festival dénommé « reggae city ». Des artistes de différents pays sont attendus à ce festival. Il s’agit du Ghana, du Mali, de l’ile de la réunion, de la Suisse et de la France. Pour cette édition, plus de 53 millions de francs CFA sont alloués afin de rendre le festival opérationnel.  

 

David Grammont alias tonton David vas être l’invité spécial pour cette 4e édition du Reggae City Festival. Plusieurs pays comme le Ghana, le Mali, L’ile de la réunion, la Suisse et la France vont venir ajouter leur touche à la coloration musicale de l’activité. Il y’aura au programme comme à l’accoutumé 4 soirées de concert et la galerie marchande. Pour cette année les organisateurs, comptent mettre la femme à l’honneur à travers leurs participations. Leurs productions vont être valorisées à travers la galerie marchande qui se tiendra sur le site du palais de la culture Jean Pierre Guingané sis au quartier Cissin.

Sams’k le Dja promoteur

Pour Sams’k le Dja promoteur du festival, il faut valoriser les produits locaux en donnant aux associations de femmes un espace de promotion. L’accès à ce site est entièrement gratuit pour tous les festivaliers afin de créer un véritable cadre d’échange et de retrouvaille. Il va plus loin en disant que le reggae au BurkinaFaso connait un développement grâce à la jeunesse qui est dans des productions de qualité. Pour cette raison Sams’k le Dja interpelle l’ensemble des acteurs du milieu reggae sur la nécessité de se tourner sur les productions live et laisser tomber les playbacks qui n’enrichisse pas.

Pour ce qui est de la particularité de cette édition, le promoteur souligne que l’objectif majeur du comité d’organisation est de veiller à ce que la fête se déroule dans un cadre bien sécurisé. Cette mesure vise à rendre le Burkina Faso encore plus accueillant et paisible. Le budget pour REGGAE CITY FESTIVAL est d’environ 53 millions de FCFA, et le promoteur ne manque par cette occasion, de rappeler les acteurs du monde de la culture et les autorités communales à y ajouter leurs contributions afin que le festival soit une référence au plan africain.

Mireille Bailly (Stagiaire)

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