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Ils sont accusés d’avoir bravé l’interdiction de manifester dans la capitale et dans plusieurs régions du pays.
Les autorités avaient interdit samedi la manifestation en évoquant « des raisons de sécurité ».
Les organisateurs de la manifestation ont estimé que la décision des autorités est illégale et ont lancé un appel à une résistance citoyenne.
Des groupes de manifestants ont été chargés par la police avec des gaz lacrymogènes à la place Toumo.
Ils ont répondu par des jets de pierres et des pneus brûlés sur la chaussée.
Le 25 mars dernier 22 personnes, dont quatre figures de la société civile, ont été arrêtées à Niamey et inculpées.
Les autorités avaient interdit samedi la manifestation en évoquant « des raisons de sécurité ».
Les organisateurs de la manifestation ont estimé que la décision des autorités est illégale et ont lancé un appel à une résistance citoyenne.
Des groupes de manifestants ont été chargés par la police avec des gaz lacrymogènes à la place Toumo.
Ils ont répondu par des jets de pierres et des pneus brûlés sur la chaussée.
Le 25 mars dernier 22 personnes, dont quatre figures de la société civile, ont été arrêtées à Niamey et inculpées.