HS, tu nous manques !

0

Voilà déjà 19 ans que ces lâches t’ont arraché brutalement à notre affection !

Cette année tu aurais dû avoir tes 68 ans mais ces barbares en ont décidé autrement. Tu es parti pour toujours prématurément (49 ans) et subitement, au moment où le Faso avait le plus besoin de toi, laissant ta famille, tes amis, ton lectorat et ton pays dans un chagrin éternel. Mais, HS, tu nous as appris à ne pas nous laisser aller aux pleurs.

HS, lorsque la nuit tombée, le ciel est illuminé d’étoiles, nous cherchons celle qui brille le plus et savons que c’est toi. Nous gardons de toi, un souvenir lumineux et nous savons du haut du ciel, tu veilles sur ce pays que tu as aimé jusqu’au sacrifice suprême.

HS, à chaque journal que nous tenons entre les mains, tu reviens dans nos esprits. Dans nos discussions à chaque instant, nous faisons une référence à tes Editos de ton hebdomadaire l’Indépendant ou à des passages de ton roman fétiche « Le Parachutage ».

HS, nous continuerons à nous battre pour savoir toute la vérité sur ton assassinat par ces ignobles alors que tu enquêtais sur la mort du chauffeur David Ouedraogo au Conseil de l’Entente. Nous espérons que cette douleur si vive qui nous déchire les cœurs s’apaisera avec le procès de tes bourreaux déjà traumatisés par la chute de Compaoré !

HS, en ce triste souvenir, l’Université de ta ville Koudougou a été baptisée de ton nom. Nous ne pouvons pas t’oublier – et nous ne t’oublierons jamais!

LAISSER UN COMMENTAIRE

Veuillez laisser un commentaire
Veuillez entrer votre nom

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.