Donald Trump acquitté : quel avenir pour l’ex-président américain et les républicains?
Le Sénat américain a acquitté samedi 13 février Donald Trump à l’issue de son deuxième procès en destitution. Même si le suspense était quasi nul, l’acquittement est évidemment un soulagement pour Donald Trump. À court terme, ce vote lui offre l’occasion de reprendre l’un de ses arguments de campagne favoris : se poser en martyr, en victime d’une incessante « chasse aux sorcières ».
Seul président de l’histoire mis en accusation deux fois, il est aussi le seul à avoir été acquitté deux fois. « Cela peut être un cri de ralliement : marteler qu’il a été pris pour cible par la gauche et par la presse, de manière injuste », souligne Capri Cafaro, ex-élue démocrate et enseignante à l’American University. Mais l’équation, qui a fonctionné pendant ses quatre années au pouvoir, est devenue plus compliquée depuis la sombre journée du 6 janvier et les violences perpétrées par ses partisans.
Nombre de responsables républicains ont pris leurs distances, ce qui constitue un handicap de taille en vue d’une éventuelle reconquête même si sa capacité à galvaniser les foules reste un atout de poids.
Argentine : mort de l’ancien président ultra-libéral Carlos Menem
L’ex-président argentin Carlos Menem, décédé dimanche à l’âge de 90 ans, a dirigé l’Argentine pendant dix ans (1989 -1999) en suivant une ligne ultralibérale, dans un style flamboyant de jet-setteur, avant de faire profil bas ces dernières années en tant que sénateur.
Élu sénateur de la province de La Rioja (nord-ouest) en 2005 puis systématiquement réélu, Carlos Menem, physiquement diminué et hospitalisé depuis plusieurs mois pour des problèmes cardiaques et rénaux, n’assistait plus aux sessions parlementaires et se tenait éloigné de la vie publique.
Mali : « On ne peut pas installer le pays dans une guerre infinie », selon l’imam Mahmoud Dicko
Mahmoud Dicko constate que le coup d’État contre l’ancien président Ibrahim Boubacar Keïta n’a pas amené la nécessaire réconciliation entre l’armée et le peuple. Il estime que le coup d’État est « un fait », qu’il faut désormais regarder vers l’avenir et que tous les Maliens doivent prendre leur destin en main.
Concernant le dialogue avec les leaders jihadistes Amadou Koufa et Iyad Ag-Ghali, le « bon sens oblige à chercher une solution », estime le leader religieux malien. La victoire militaire contre eux étant impossible, il n’est pas acceptable d’installer le pays « dans une guerre infinie » car on « met la République en péril », ajoute-t-il.
La rédaction
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