Les quotidiens burkinabè parvenus à l’AIB, ce mardi matin, traitent de sujets diversifiés dont ceux liés à la politique et à la justice, sans oublier le monde agricole, avec la célébration, la veille, de la Journée nationale des légumineuses.
«Culture des légumineuses: Une alternative à la création d’emplois», arbore en manchette, le quotidien national Sidwaya, informant que le président du Faso, Roch Marc Christian Kaboré a présidé, hier lundi à Koumbané, dans la région du Nord du Burkina, la célébration de Journée des légumineuses (JIL).
Pour sa part, L’Observateur Paalga, le doyen des quotidiens privés du Burkina Faso, titre: «Journées des légumineuses: Le Burkina plaide pour une institutionnalisation».
Selon le journal, le Directeur général de l’Organisation des nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO), José Graziano Da Silva, en visite au Burkina Faso, a été reçu en audience par les premières autorités du pays.
L’Observateur Paalga évoque également l’actualité relative à la justice. Ainsi, il informe qu’à propos de l’affaire concernant le viol collectif d’une lycéenne, «les 3 petits monstres et 2 complices sont envoyés à la MACO (Maison d’arrêt et de correction de Ouagadougou, Ndlr)».
Le même journal renseigne que concernant le dossier du putsch manqué, l’on est «en route pour le procès», précisant que «c’est exactement dans une semaine, le mardi 27 février 2018 précisément, que le procès tant attendu du putsch manqué du général Gilbert Diendéré va s’ouvrir devant la Chambre de jugement du tribunal militaire de Ouagadougou délocalisé dans la salle de conférence de Ouaga 2000».
De son coté, Le Pays, autre quotidien privé, mentionne qu’à propos des agitations autour du procès du putsch manqué du 15 septembre 2015, «le CFA (Collectif des femmes actives du Burkina) invite les autorités à +user de toute la puissance publique+».
Le journal informe le CFA a animé, hier lundi à Ouagadougou, une conférence de presse pour se prononcer sur des sujets tels que l’agression sexuelle d’une fillette de 15 ans et les «actes de déstabilisation de l’Etat».
Dans sa rubrique ‘’Mardi Politique’’, Le Pays donne la parole au général Djibrill Bassolé, ancien chef de la diplomatie burkinabè, actuellement inculpé dans l’affaire putsch manqué.
Le général Bassolé affirme que «trop de décisions iniques et arbitraires ont été prises à mon encontre».
Quant au quotidien privé Aujourd’hui au Faso il consacre sa manchette à la sortie du Syndicat des professionnels des technologies de l’information et de la communication (SYNPTIC).
Le journal fait remarquer que «le syndicat exige le respect du protocole d’accord».
Agence d’information du Burkina
ak
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