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Selon le rapport de la Commission Des Affaires Étrangères et des Burkinabè de l’étranger (CAEBE) une partie importante de la production de ces zones reste non écoulée à cause du mauvais état actuel de la route. C’est pourquoi elle a demandé à la plénière l’adoption de ce projet de loi qui à son avis est une route de désenclavement interne pour le développement des zones traversées par le projet qui regorgent d’énormes potentialités agricoles et pastorales.
Notons que le plan de financement du projet de construction et de bitumage de ce tronçon long de 94km est évalué à 71 millions USD avec pour démarrage effectif des travaux juin 2020.
Assainir les eaux pluviales de Ouagadougou, une préoccupation pour les élus.
Dans le soucis d’apporter une solution durable et définitive aux problèmes d’inondations de la ville, le gouvernement à travers le ministère de l’urbanisme et de l’habitat a commandité en 2009 une étude technique détaillé et environnementale de drainage du parc Bangr Wéogo. Chiffré à environ 19 milliards de FCFA, c’est en effet le projet de loi portant ratification pour le financement partiel du projet de renforcement du réseau d’assainissement des eaux pluviales de la ville de Ouagadougou (phase 3) qui a été le second dossier soumis au vote des honorables députés.
A en croire les travaux de la Commission des Affaires Étrangères et des Burkinabè de l’étranger (CAEBE) , ce projet de loi adopté à l’unanimité va contribuer à : faciliter le drainage des eaux pluviales dans la ville de Ouagadougou ; améliorer le cadre de vie des populations ; créer 6858 emplois indirects et induits dans le domaine de la gestion des déchets ; la création de richesse (11426 millions de FCFA de valeur ajoutée indirecte et induite) ; produire des recettes fiscales pour l’État à hauteur de 511 millions de FCFA ; réduire le gaz à effet de serre de 24000 tonnes.
De la gestion des ressources naturelles.
Le dernier projet de loi portait sur l’autorisation de ratification de la convention portant création de l’Alliance mondiale des terres arides (GDA). Il a également été adopté à l’unanimité. Selon la CAEBE son adoption permettra au Burkina Faso de trouver un espace favorable pour promouvoir la gestion durable des ressources naturelles, le renforcement de la sécurité alimentaire, la résilience aux effets des changements climatiques et ainsi le développement économique et social des pays arides et semi – arides.
Wendemi Annick KABORE
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