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L’avantage de ce projet selon le ministre Bachir Ismaël Ouédraogo est qu’il va permettre de répondre rapidement à la demande. L’investissement si on veut le croire a coûté 50 milliards de francs CFA. A en croire le patron de l’exécutif burkinabè il s’agit d’une solution qui viendra compléter tous les efforts fait pour renforcer la sécurité énergétique. Confirmant que le projet dont la mise en réseau était prévu pour fin avril a connu des difficultés au démarrage, il rassure que la mise en service de la phase 1 est prévue pour le 15 mai 2019. Le 18 juillet 2019 est la date prévue pour la mise en service de la phase II selon ses explications. Soucieux du respect de ces délais, Christophe Marie Joseph Dabiré a encouragé la société Aggreko pour la qualité du travail qu’elle effectue et a souhaité qu’elle puisse accélérer la procédure pour que l’on soit dans les délais.
Thierry KABORE (Collaborateur)
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