Bobo Dioulasso : COPTAC 2018, le bilan, satisfaisant

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La Convergence des Peuples pour la Promotion du Traité d’Amitié et de Coopération Ivoiro-burkinabè (COPTAC) a tenu une conférence de presse ce weekend à la maison de la culture de Bobo-Dioulasso. Il était question au cours de cette rencontre avec les hommes de médias de décliner les grandes lignes des 48h d’activités organisées par la structure dirigée par Désiré Yaméogo mais aussi d’investir le coordonnateur régional de la COPTAC des Hauts Bassins.

Il était question au cours de cette conférence de presse, de rappeler les motivations ayant conduit à la création de la COPTAC. Ainsi, estimant que les rapports interétatiques sont impersonnels et basés sur le principe « sacro-saint » de la continuité, il a été décidé de la création de la COPTAC le 9 juillet 2016 à Abidjan. L’objectif est de veiller à la réalisation des accords signés par les deux Etats que sont la Côte d’Ivoire et le Burkina.

Au cours de ce point de presse les responsables de la COPTAC ont fait aux journalistes, le point de leurs 48h d’activités. Placées sous le thème « solidarité et intégration : facteurs de développement » les 48h de la COPTAC qui ont eu lieu dans la ville de Sya du 9 au 10 novembre 2018 ont été marquées selon les organisateurs par plusieurs activités. Il s’agit du lancement officiel des activités de la COPTAC dans la région des Hauts Bassins, l’investiture du coordinateur régional de la COPTAC, une opération de don de sang, la prière pour la paix et la sécurité au Burkina Faso, tenue à la grande mosquée de Dioulassoba et à la cathédrale ainsi qu’une nuit culturelle Ivoiro-burkinabè.
Le président de la COPTAC Désiré YAMEOGO n’a pas manqué de dresser un bilan jugé satisfaisant de la matérialisation sur le terrain des clauses signées par les deux Etats.

Dans le souci de la décentralisation de ses actions, la COPTAC a porté son choix sur Bobo-Dioulasso. Un choix qui se justifie selon les responsables de la COPTAC par le fait que Bobo est une ville carrefour et symbole des échanges commerciaux et d’intégration entre les deux pays. Bobo-Dioulasso a été également la ville qui a accueilli la première rencontre du comité de suivi et d’évaluations de la mise en œuvre des recommandations des clauses du TAC affirme Désiré Yaméogo.

Mathéo Dabiré (collaborateur)

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