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Bonne gouvernance : les journalistes à l’école du réseau « IJACOD » et du PNUD

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Le Réseau « Initiatives des journalistes africains pour la coopération et le développement » (IJACOD) en collaboration avec  le Programme des Nations Unies pour le développement (PNUD) a organisé au profit des Hommes de médias, un atelier de renforcement des capacités sur la bonne gouvernance. La formation vise également à permettre aux participants d’aller à la découverte du PNUD qui est l’une des plus anciennes institutions de développement des Nations Unies, mais qui est très peu connue.

La bonne gouvernance et la découverte du Programme des Nations Unies pour le développement (PNUD), ce sont les deux points inscrits à l’ordre du jour de l’atelier organisé par le Réseau « Initiatives des journalistes africains pour la coopération et le développement » (IJACOD) au profit des Hommes de médias. L’on parle ici de l’atelier de renforcement de capacités de 100 journalistes organisé en collaboration le PNUD.

 

Le secrétaire exécutif du réseau IJACOD, Jean Victor Ouédraogo justifie l’initiative par le souci d’accomplir un devoir, celui de promouvoir et de protéger les droits humains en militant pour la bonne gouvernance politique et administrative. Citant les maux tels que : l’insécurité, les conflits sociaux, le terrorisme, l’extrémisme violent, l’incivisme, les crises politiques, les problèmes de bonne gouvernance, qui minent aujourd’hui la société burkinabè, il estime qu’ils ne sont pas sans conséquence. Selon lui, ces maux portent atteinte aux droits humains et entravent les efforts de développement.

 

Partant de ces faits, Jean Victor Ouédraogo estime qu’en tant que professionnels de l’information, les Hommes de médias sont en effet interpellés. « Il s’agit donc pour nous journalistes de nous outiller afin de donner l’information juste et travailler en respectant l’éthique et la déontologie » a-t-il soutenu.

Son point de vue est partagé par le directeur pays du PNUD Burkina Faso,  Corneille Agossou qui déclare que l’atelier vise à outiller les journalistes afin qu’ils puissent à terme contribuer à la construction d’une société pacifique au développement durable du Burkina Faso. Concernant l’institution dont il est le représentant au Burkina Faso, il confie qu’au-delà de l’objectif sus cité, l’atelier va permettre la découverte du PNUD qui à l’en croire, est une des plus anciennes institutions de développement des Nations Unies, mais qui est très peu connue.

C’est sur cette conviction qu’il a procédé ce mardi 29 janvier 2019 à l’ouverture de l’atelier qui va durer 48 heures soit du 29 au 30 janvier 2018.

Thierry KABORE (Collaborateur)

 

Bernard HIEN

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