CASEM du ministère de la communication : Le bilan 2018 jugé satisfaisant

Le ministère de la communication et des relations avec le parlement, a tenu son deuxième conseil d’administration du secteur ministériel, (CASEM), le jeudi 27 décembre 2018. L’objectif de cette session ordinaire était de dresser le bilan annuel des actions du département et de décliner des perspectives pour l’année 2019.

Le ministère de la communication et des relations avec le parlement, a tenu son deuxième CASEM ordinaire, sous le thème : Evaluation de la mise en œuvre des actions du ministère : défis et perspectives. En effet, il s’est agi au cours de cette session bilan, de faire une pause pour évaluer les actions du ministère au titre de l’année 2018 et surtout de réfléchir sur ce thème. « Après une première évaluation en juillet, cette session nous donne une fois de plus l’opportunité, pour faire une revue globale de notre politique en terme d’acquis et d’insuffisances en vus de mieux planifier l’année 2019 » a laissé entendre le ministre de la communication, Rémi Fulgance Dandjinou.

Selon lui, cette année a été nettement meilleure que l’année passée, en termes d’atteinte des objectifs. « Il est certain que certaines actions ont été menées parfois avec des résultats qui peuvent être parfaite, alors je dirai que nous avons une dynamique d’ensemble qui est relativement positive. Même si effectivement des questions de revues budgétaires ont pu nous pénalisé ; dans l’ensemble nous avons exécuté tout ce qui était de notre ressort, au jour d’aujourd’hui » a-t-il signifié.

Au regard de ce bilan, qui s’avère plus au moins satisfaisant, des perspectives ont également été déclinés lors de cette session. Ainsi le ministère de la communication et des relations avec le parlement, après la mise en place de son projet majeur notamment la mise en œuvre de la TNT, projette améliorer ses relations avec le parlement. A cet propos, Fulgance Dandjinou a notifié que « c’est un aspect dont on ne parle pas souvent mais qui est un aspect important de la mission du département, sur lequel nous allons travailler afin d’accentuer ces éléments ». Il a confié aussi son soutien à la communication de manière général tant au niveau privé que publique mais également il n’a pas manquer de notifier des grossesses en cours, en ce qui concerne les sociétés d’états et un certain nombre de défis pour l’opérationnalisation de soutien à travers le fond d’appuis à la presse privé.

Flore KINI