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C’est sous le thème« Confronter notre mémoire et forger l’avenir d’un cinéma panafricain dans son essence, son économie et sa diversité », que les échanges entre acteurs du cinéma on été orientés.Le clap d’ouverture de ce colloque a été donné par le ministre de la Culture des Arts et du Tourisme, Abdoul Karim Sango.
Le FESPACO célèbre son 50eme anniversaire du 23 février au 2 mars 2019, à Ouagadougou, capitale du Cinéma africain. Ce jubilé d’or marque à la fois un moment d’introspection de rétrospection et surtout de projection vers l’avenir, a en croire le délégué général du FESPACO Ardjouma Soma. A cet effet, un colloque international a été initié sur le thème « Confronter notre mémoire et forger l’avenir d’un cinéma panafricain dans son essence, son économie et sa diversité ». En effet ce colloque offre au professionnels et étudiants des écoles et instituts de formation au métier du cinéma et de l’audiovisuel, un cadre de réflexion autour du triptyque, mémoire avenir, économie. « Cet évènement est un âge qui doit nous interpeler sur le passé, les acquis surtout sur la nécessite de repositionner le festival qui évolue dans un environnement en perpétuelle mutation technique et technologique » a relevé Ardjouma Soma, délégué général du FESPACO.
Par ailleurs deux jours durant les acteurs du cinéma panafricain se réunirons autour des maitres mots mémoire économie et avenir. Entre ateliers de formations, masters class, et conférences thématiques, ces principaux mots feront l’objet de réflexion des acteurs dans le but d’aboutir à des recommandations et engagements forts. Cela permettra aussi de contribuer au développement de l’industrie cinématographique du continent africain.
Pour le ministre de la Culture des Arts et du Tourisme, Abdoul Karim Sango « Au fil des temps ; Ouagadougou s’est transformée en une mégalopole cosmopolite, riche d’un dynamisme et d’une créativité qui font aujourd’hui son charme et sa notoriété. C’est dans le but de l’ amélioration de la chose que nous avons aussi organisé ce colloque afin de traiter d’un certain nombre de sujet pouvant booster le cinéma africain mais aussi un cadre idéal pour des rencontres professionnelles » a-t’il laissé entendre.
Flore KINI
