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A l’occasion du lancement de son bilan sur la situation des droits humains durant l’année écoulée, Amnesty international a animé un point de presse le 10 décembre à Ouagadougou.
Les militants à travers le monde se sont retrouvés en première ligne du combat pour la défense des droits humains en 2018. En effet, cette organisation de défense des droits humains met en garde contre le fait que les mesures prises par les diigens « durs à cuire » qui promeuvent des politiques misogynes et xénophobes. Selon Évelyne P Barry, directrice régionale d’Amnesty International, ce sont les militantes qui ont cette année fait preuve de la plus puissante détermination à combattre ces dirigeants répressifs. Aussi dit-elle : « Amnesty international son analyse dans un document intitulé les droits humains aujourd’hui qui présente la situation de ces droits dans sept(07) régions du monde à savoir telles que l’Afrique , les Amériques, l’Europe et l’Asie Centrale.
En outre, Évelyne P Barry a signifié que le lancement de ce compte-rendu marque le 70e anniversaire de la Déclaration universelle des droits de l’homme qui constitue la première déclaration mondiale des droits et qui a été adoptée en 1948 par les gouvernements du monde entier. Toutefois, dit-elle : « en ce qui concerne le soulèvement des femmes, le rapport souligne que l’on ne peut pas célébrer cette formidable montée du militantisme féminin sans s’intéresser aux élément moteurs qui ont conduit de si nombreuses femmes à se mobiliser pour exiger un changement ».Par ailleurs dans ce rapport Amnesty international demande aux gouvernements de prendre des mesures nécessaires pour protéger les droits des femmes, ce qui comprend non seulement le respect des notes internationales mai aussi la réforme des lois néfastes ainsi que des mesures assurant l’autonomisation des femmes et la protection de leurs droit.
Wendemi Annick KABORE
