Me Ambroise Segui Farama était à Dori le mardi 16 novembre 2020 pour présenter son projet de société. Devant une population composée de femmes et de jeunes le Président de l’OPA-BF a invité la population à le voter pour un bon rayonnement du Burkina Faso.
Le parti de l’OPA-BF était le mardi 16 novembre 2020 au secteur numéro 2 de la ville de Dori pour convaincre les électeurs à voter son Président, Me Ambroise Segui Farama le 22 novembre prochain. Devant un public sorti pour la circonstance l’avocat qui veut devenir président du pays des hommes intègres dit vouloir opérer une rupture avec pour slogan « le Burkina Faso ma fierté, l’Afrique ma force ». Selon le candidat, le Burkina Faso est riche économiquement mais mal exploité par le pouvoir en place. « Présentement nous avons plus de dix sociétés minières qui sont exploitées au Burkina, mais l’Etat ne détient qu’environ 10% du capital social. Cela s’est fait en fonction des intérêts du pouvoir en place. Moi Président de la république, nous prendrons toutes ces mines pour exploitation, car présentement nous avons des opérateurs économiques et des cadres compétents qui peuvent exploiter ces ressources, nous ferons tout pour que l’Etat ait au moins 52% du capital social dans ces mines. Les retombées de nos mines doivent profiter à nos communautés. Quand vous partez dans ces mines, les premiers responsables se déplacent avec des avions tandis que nos compatriotes, on les transporte avec des cars » a affirmé le président de l’OPA-BF.
Pour lui, une fois au pouvoir, le sahel sera transformé avec les ressources de l’exploitation minière. Et, il en veut pour preuve la Lybie ou Mouammar Kadafi à transformer son pays en un pays de rêve. Se prenant comme l’avocat de la veuve et de l’orphelin, Me Farama souhaite construire un pays une fois à Kosyam, une nation où le fils du pauvre et celui du riche auront les mêmes droits. Pour la question de la réconciliation, il soutient qu’il n’y aura pas de pardon sans justice.
Devant un public qui semble être acquis à sa cause le candidat dit de la rupture a tenu pour responsable de la situation sécuritaire difficile que vit le pays, le Mouvement du Peuple pour le Progrès. Pour lui, quand on est président d’une république on doit assurer la sécurité de ses citoyens. Après l’allocution de Me Farama, les militants ont tenu séance tenante des démonstrations de vote afin de sensibiliser les électeurs à faire le bon choix le 22 novembre prochain.
Inoussa ZONGO (correspondant)
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