Après les castings dans les villes de Kaya , Koudougou , Ouahigouya, Fada et Ouaga dont 230 candidates ont pris part , 30 ont été retenues pour la présélection le 24 février 2018 .L’innovation de cette année , la ville de Bobo-Dioulasso va accueillir la présélection qui en réalité est une demi- finale nationale . Cette décision a été prise afin de permettre à cette ville de profiter de ce concours qui magnifie la beauté de la femme burkinabè. Pour la finale le quotas des candidates se présente comme suit en fonction des villes :15 filles pour Ouaga, 2 pour Bobo-Dioulasso, 1 à Fada , 1 à Ouahigouya ainsi que Koudougou.
C’est un bilan plutôt satisfaisant à 5O % pour la miss Aida Sidibé qui est en fin de mandat malgré son emploi du temps chargé a l’université . « A travers mes œuvres de charités , c’est un appel aux gens d’aider la population également montrer aux gens de l’extérieur surtout aider les enfants démunis et les personnes du troisième âge » a-t-elle souhaité . Pour elle, ces œuvres de charités vont se poursuivre à Bobo-Dioulasso avec le dont de matériels de fabrication de koko dounda (pagne traditionnel ) à une famille le 24 février 2018 lors de la présélection de Miss Université.
D’un budget de 44 11O OOO FCFA , le concours Miss Universités est une tribune récréative. il permet a la jeune fille de s’exprimer et de montrer ce qu’elle s’est faire . Cependant ce concours ne bénéficie pas d’appuis institutionnels selon les organisateurs. « Si ce concours existe depuis , c’est que quelque part le concours apporte de la valeur ajouté à ce pays » a dit Honoré Bambara. Il saisi ainsi l’occasion pour inviter les institutions à accompagner cette activité. « c’est le lieu pour moi d’interpeler les plus hautes autorités de voir ce qui se passe dans les autres pays . Cela peut être de divertissement mais le divertissement contribue à la construction d’une nation » a dit Honoré Bambara ,promoteur du concours Miss Universités Burkina
La grande finale est prévue le 7 avril 2018. Le thème choisi cette année est « Jeunesse burkinabè et l’immigration ».
Fiakofi Kossi (Stagiaire)