Dans le cadre des élections législatives prochaines, le parti Progressiste Unis pour le Renouveau (PUR) est allé à la rencontre de ces militants et sympathisants de l’arrondissement 4 de Ouagadougou le mardi 17 novembre 2020.
Les militants du parti Progressiste Unis pour le Renouveau (PUR) ont réaffirmé leur soutien au candidat Alexandre G Sankara. Ils l’ont fait savoir au cours d’un meeting tenu le mardi 17 novembre 2020, à l’arrondissement 4 de Ouagadougou. « Si nous accédons à l’Assemblée nationale, nous allons peser de notre poids pour que tous les projets de lois mis dans les armoires puissent être votés », a promis le candidat du PUR qui s’est réjoui de la mobilisation du jour. A l’en croire, son parti est conscient des maux qui minent l’épanouissement de la population notamment la question de la sécurité, du logement, de l’emploi des jeunes et de l’obtention de microcrédits à l’endroit des femmes.
Cependant, Alexandre G Sankara a reconnu que pour les cinq années passées, ils n’ont pas pu s’imposer fortement lors du vote de certaines lois vue qu’ils étaient que deux députés. Et de poursuivre que si toutefois les électeurs renouvellent leur confiance en votant massivement pour eux, le parti pourrait constituer un groupe parlementaire qui pèserait lourd à l’hémicycle. Pour ce faire, il envisage une fois réélu faire des propositions de lois sur le foncier, afin de permettre à chaque Burkinabè d’avoir droit au logement.
Aussi, monsieur Sankara promet proposer une loi en faveur de la création d’industries pour minimiser le chômage des jeunes. « Votez pour le PUR, car les députés de ce parti ne dorment pas à l’Assemblée nationale. Ils travaillent et ils ont encore des idées pour vous défendre », a-t-il lancé. Quant aux représentants des femmes et des jeunes, ils ont tour à tour réaffirmé leur soutien au parti du cheval blanc.
Il faut rappeler que le parti « Progressistes Unis pour le Renouveau (PUR) » a été créé le 28 avril 2018 à Ouagadougou. C’est un parti d’obédience Sankariste qui prône l’intégrité comme mode de gouvernance.
Mireille Bailly
