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Les 1er et 2 août 2018, les premières dames de 17 pays africains membres de l’Organisation de la coopération islamique (OCI) vont tenir dans la capitale burkinabè un séminaire régional de haut niveau sur la promotion de la sensibilisation à la lutte contre le cancer et les programmes de plaidoyer dans les Etats membres africains de de l’Organisation de la coopération islamique. C’est pour donner de plus amples informations sur ce séminaire qui est placé sous le thème : « un engagement solidaire pour lutter contre le cancer », que la patronne dudit séminaire, l’épouse du président du Faso, Sika Kaboré a invité les hommes de médias à un point de presse qui s’est tenu ce mercredi 25 juillet 2018 à Ouagadougou.
Du 1er au 2 août 2018, la capitale burkinabè va abriter un séminaire régional de haut niveau sur la promotion et la sensibilisation à la lutte contre le cancer et les programmes de plaidoyer dans les Etats membres africains de de l’Organisation de la coopération islamique (OCI). Placé sous le thème : « un engagement solidaire pour lutter contre le cancer », le séminaire sera marqué par la participation des premières dames des pays membres du groupe africain de l’OCI.
A en croire sa patronne, l’épouse du président du Faso, Sika Kaboré, le séminaire en question a pour objectifs de renforcer les capacités des premières dames en matière de lutte contre le cancer et les programmes de plaidoyer pour la promotion de la sensibilisation à la lutte contre le cancer et les programmes de plaidoyer, dans les pays membres du groupe Afrique de l’OCI. Elle confie qu’il s’agira spécifiquement de présenter entre autres : l’état des lieux du fardeau croissant du cancer dans les pays membres du groupe Afrique de l’OCI, d’identifier les voies et moyens par lesquels les premières dames peuvent renforcer leur rôle de leadership pour lutter efficacement contre le cancer et sauver des vies dans le cadre des politiques sanitaires de leurs pays respectifs, d’informer sur les opportunités et les meilleures pratiques dans la recherche de financement auprès de la Banque islamique de développement (BID) et d’autres potentiels bailleurs de fonds, de discuter des moyens d’élargir l’accès à la prévention au diagnostic, au traitement et aux soins du cancer, etc.
Le décor est planté et l’épouse du chef de l’Etat, Sika Kaboré espère fortement que la rencontre de Ouagadougou va marquer un tournant décisif dans la lutte contre le cancer dans les pays africains, a-t-elle rappelé, sont les plus touchés par ce problème de santé publique.
Il faut rappeler que sont attendues dans la capitale burkinabè, les premières dames du Benin, du Cameroun, de la Côte d’Ivoire, du Gabon, de la Gambie, de la Guinée, de la Guinée-Bissau, du Mali, du Mozambique, du Niger, du Nigéria, du Sénégal, de la Sierra Leone, du Tchad, du Togo et de Ouganda. En plus de ces pays, la principale conférencière du jour a confié que la première dame du Soudan sera présente en tant qu’invitée spéciale au regard de son expérience et de son engagement aux côtés de son époux dans la lutte contre le cancer. Elle conclut en rappelant que l’ensemble des invitées (premières dames) conduiront des délégations d’experts auxquelles s’ajoutent des experts de l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA), de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), de l’Arabie Saoudite et de la Turquie.
Thierry KABORE