Pour l’atteinte des objectifs fixés par ce CASEM, le premier responsable du ministère de l’enseigneur supérieur à invité ses agents à s’approprier ce thème. « Ce thème nous interpelle tous au quotidien sur notre manière de penser, d’organiser et d’agir. Dorénavant nos manières de faire devront être perpétuellement repensées et remises en question afin de s’assurer de leur cohérence avec les effets attendus de leur pertinence et leur efficience» à souhaité Alkassoum Maiga
En ce qui concerne les activités de l’année 2017 du ministère de l’enseignement supérieur de la recherche scientifique et de l’innovation, c’est un bilan satisfaisant qui a été dressé. « 75,76%, c’est le taux global d’exécution physique contre un taux d’exécution financière de 75,14% ». En termes d’acquis, Alkassoum Maiga a fait ressortir plusieurs réalisations. Il s’agit entre autre de la « création de quatre nouveaux centres universitaires polytechniques à Gaoua, Kaya, Dori et Tenkodogo, l’expérimentation réussie du vaccin anti-palustre RTS-S/AS01 dans la prévention du paludisme saisonnier chez les enfants de 6 semaines à 17 mois, la mise au point de 570 technologies au profit du système productif national ».
Outre ces acquis, Alkassoum Maiga est conscient des défis à relever en cette année 2018 dans un contexte marqué par des crises dans certaines universités. La poursuite du processus de renforcement du système LMD, l’achèvement de la construction du siège de l’université virtuelle et des espaces numériques de Ouagadougou, Koudougou et Bobo Diaoulasso, l’aménagement du site de l’Université Ouaga2 à Gonsé, sont autant de préoccupations pour le ministre et son équipe.
Ces préoccupations doivent trouver des pistes de solution dans le programme d’activité de l’année 2018 qui sera adopté à la fin de ce Conseil d’Administration du Secteur Ministériel.
M’pempé Bernard HIEN, FasoPic.net