[responsivevoice_button voice= »French Female » buttontext= »Ecouter l’article »]
Si les cinq pays africains qui participaient au Mondial 2018 n’ont pas passé le premier tour, il reste encore un homme pour représenter le continent en Russie. Il s’agit du Sénégalais Malang Diédhiou, qui fait partie des 12 arbitres à pouvoir encore officier d’ici la fin du Mondial 2018.
Lors du huitième de finale entre la Belgique et le Japon, Malang Diédhiou s’est fait très discret. Chose étonnante pour un homme qui mesure 1,91 mètre. Mais ne pas voir un arbitre, c’est plutôt bon signe. D’ailleurs, sa performance a été unanimement saluée.
Une « consécration » pour Malang Diédhiou
En Russie, Malang Diédhiou est devenu après Youssou N’Diaye (1974 et 1978) et Falla N’Doye (2002), le troisième arbitre sénégalais à être sélectionné pour une Coupe du monde. Né en Casamance, il officie comme arbitre international depuis une dizaine d’années. Pour lui, ce premier Mondial est une « consécration ». Il n’oublie pas de saluer son continent et son pays. Durant les trois matches qu’il a arbitrés lors de la compétition au premier tour, il était accompagné de ses deux assistants Djibril Camara et Malick Samba.
Malang Diédhiou connaissait déjà la Russie puisqu’il avait aussi été désigné pour la Coupe des confédérations en 2017.
Déjà beaucoup d’expérience
Né le 30 avril 1973 à Badiama, Malang Diédhiou avait été sélectionné pour les CAN 2015 et 2017, les CHAN 2014 et 2018, les CAN U 17 et U 23 en 2015. Il a aussi dirigé des rencontres de Ligue des champions africaine. Malang Diédhiou avait fait le voyage également pour le tournoi des Jeux olympiques de Rio en 2016 et à la Coupe du monde des clubs de la Fifa en 2017.
En dehors de l’arbitrage, Malang Diédhiou est inspecteur des douanes, avec un grade équivalent à celui de colonel. Pour pouvoir être sur les terrains, le gouvernement sénégalais lui permet d’aménager son emploi du temps.
Le 12 juillet 1998, à l’âge de 41 ans, le Marocain Saïd Belqola, décédé depuis, avait été le premier arbitre africain à diriger une finale de Coupe du monde entre la France et le Brésil. Malang Diédhiou en rêve évidemment.
Lors du huitième de finale entre la Belgique et le Japon, Malang Diédhiou s’est fait très discret. Chose étonnante pour un homme qui mesure 1,91 mètre. Mais ne pas voir un arbitre, c’est plutôt bon signe. D’ailleurs, sa performance a été unanimement saluée.
Une « consécration » pour Malang Diédhiou
En Russie, Malang Diédhiou est devenu après Youssou N’Diaye (1974 et 1978) et Falla N’Doye (2002), le troisième arbitre sénégalais à être sélectionné pour une Coupe du monde. Né en Casamance, il officie comme arbitre international depuis une dizaine d’années. Pour lui, ce premier Mondial est une « consécration ». Il n’oublie pas de saluer son continent et son pays. Durant les trois matches qu’il a arbitrés lors de la compétition au premier tour, il était accompagné de ses deux assistants Djibril Camara et Malick Samba.
Malang Diédhiou connaissait déjà la Russie puisqu’il avait aussi été désigné pour la Coupe des confédérations en 2017.
Déjà beaucoup d’expérience
Né le 30 avril 1973 à Badiama, Malang Diédhiou avait été sélectionné pour les CAN 2015 et 2017, les CHAN 2014 et 2018, les CAN U 17 et U 23 en 2015. Il a aussi dirigé des rencontres de Ligue des champions africaine. Malang Diédhiou avait fait le voyage également pour le tournoi des Jeux olympiques de Rio en 2016 et à la Coupe du monde des clubs de la Fifa en 2017.
En dehors de l’arbitrage, Malang Diédhiou est inspecteur des douanes, avec un grade équivalent à celui de colonel. Pour pouvoir être sur les terrains, le gouvernement sénégalais lui permet d’aménager son emploi du temps.
Le 12 juillet 1998, à l’âge de 41 ans, le Marocain Saïd Belqola, décédé depuis, avait été le premier arbitre africain à diriger une finale de Coupe du monde entre la France et le Brésil. Malang Diédhiou en rêve évidemment.