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Deux témoignages semblent confirmer la thèse avancée par le commissaire de police, George Fivaz, qui a indiqué qu’il n’y avait pas de preuves reliant Winnie Mandela à la mort de Stompie Seipei.
La mère de Stompie Seipei a souligné qu’elle ne croit pas à l’implication de Winnie dans la mort de son fils. Joyce Seipei, a indiqué au site d’information en ligne, Times LIVE, qu’elle ne sait toujours pas qui a tué son fils dont le corps a été retrouvé non loin de la maison de Winnie Mandela.
Elle a ajouté qu’elle s’était réconciliée avec l’ancienne épouse du président Mandela après qu’elle s’est excusée pour ce qui était arrivé à son fils.
A ce premier témoignage s’ajoute celui de Paul Erasmus.
L’espion qui travaillait pour une unité appelée Stratcom au moment des faits, a déclaré que Winnie était la cible d’une campagne de propagande lancée par le gouvernement sud-africain.
De fausses informations ont été répandues via des médias inféodés au régime d’apartheid pour discréditer non seulement Winnie Mandela mais aussi l’ANC (Congrès national africain).
De son vivant, l’activiste anti-apartheid décédé le 2 avril dernier a sans cesse clamé son innocence pour la mort de Stompie Seipei.
Si elle a été reconnue non coupable pour la mort du jeune garçon de 14 ans, la justice a indiqué qu’elle a néanmoins joué un rôle dans son agression.
La mère de Stompie Seipei a souligné qu’elle ne croit pas à l’implication de Winnie dans la mort de son fils. Joyce Seipei, a indiqué au site d’information en ligne, Times LIVE, qu’elle ne sait toujours pas qui a tué son fils dont le corps a été retrouvé non loin de la maison de Winnie Mandela.
Elle a ajouté qu’elle s’était réconciliée avec l’ancienne épouse du président Mandela après qu’elle s’est excusée pour ce qui était arrivé à son fils.
A ce premier témoignage s’ajoute celui de Paul Erasmus.
L’espion qui travaillait pour une unité appelée Stratcom au moment des faits, a déclaré que Winnie était la cible d’une campagne de propagande lancée par le gouvernement sud-africain.
De fausses informations ont été répandues via des médias inféodés au régime d’apartheid pour discréditer non seulement Winnie Mandela mais aussi l’ANC (Congrès national africain).
De son vivant, l’activiste anti-apartheid décédé le 2 avril dernier a sans cesse clamé son innocence pour la mort de Stompie Seipei.
Si elle a été reconnue non coupable pour la mort du jeune garçon de 14 ans, la justice a indiqué qu’elle a néanmoins joué un rôle dans son agression.