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Alors que la demande augmente, surtout dans les pays en développement, les réserves souterraines s’épuisent, pompées principalement pour l’irrigation, et la qualité de l’eau se dégrade, polluée par les eaux usées industrielles et municipales et les produits chimiques agricoles, avertit l’ONU, qui préconise des « solutions vertes ».
« Il n’y a tout simplement pas de temps à perdre », a dit le président Temer dans son discours d’ouverture de la 8e édition du Forum prévu jusqu’à 23 mars dans la capitale brésilienne.
« Il y a un consensus », a ajouté le chef de l’Etat, « la vie sur Terre est menacée si nous ne respectons pas les limites de la nature ».
Près de 40.000 personnes assistent au Forum, dont une quinzaine de chefs d’Etats, 300 maires de villes du monde entier, et plusieurs dizaines de scientifiques et de militants écologistes.
Le forum se réunit à l’heure où de grandes villes, comme celles du Cap, font face à un manque dramatique d’eau. La métropole sud-africaine a été menacée de coupure d’eau courante dans les prochains mois à cause de la sécheresse.