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L’Alliance Droit et Santé, a organisé le jeudi 31 mai 2018 un atelier d’échange à l’intention des journalistes. L’objectif de cette rencontre est de renforcer la motivation des professionnels de médias à réaliser des productions journalistiques sur les thématiques de droit à la santé sexuelles et reproductive et la planification familiale. L’atelier a été marqué par plusieurs communications.
Choisir librement le nombre d’enfant au moment voulu par les individus, c’est la définition que l’organisation mondiale de la santé donne à la planification familiale. Selon l’OMS, la planification familiale est une manière de penser et de vivre que chaque individu devrait adopter. En effet, elle présente des avantages pour les personnes qui les intègrent dans leurs vies quotidiennes. « Elle améliore le bien être générale tant physique, mental que social de la personne humaine pour tout ce qui concerne l’appareil génitale » a ajouté Dr Ouoba/Kaboré Boezemwendé,médecin épidémiologiste à la direction de la santé de la famille.
La santé de la reproduction à un but, elle vise à améliorer la qualité de la vie pour tous à travers un cycle de vie qui va de la naissance pour arriver à l’âge avancé. Cette affirmation de Dr Ouoba/ Kaboré Boezemwendé démontre l’importance d’une bonne santé pour la vie de l’être humain et cela grâce à la planification familiale.
Ainsi pour tenter d’éveiller les consciences des populations par rapport à l’accroissement démographique, les acteurs de la lutte, veulent que le rôle des médias soit participatif. Le journalisme aujourd’hui doit être revu. « Le journalisme doit avoir un visage humain dans le traitement des thématiques relatives à la personne humaine » souhaite Boureima Sanga.
Alliance Droit et Santé est un réseau sous régional d’ONGs qui œuvre pour la promotion des droits en matière de santé sexuelles et reproductives des femmes et filles d’Afrique de l’Ouest. Elle met en œuvre des actions de mobilisations sociale et de plaidoyer pour contribuer à l’amélioration de la santé de la reproduction et de la planification familiale. L’alliance compte au Burkina Faso trois associations dont l’ONG Songui Manégué/Aide au développement endogène(ASMADE) et espère qui espère atteindre l’objectif de 32% d’indice de prévalence contraceptive en 2020 au Burkina Faso.
Mireille BAILLY
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