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Alors que les candidatures pour l’élection du 7 octobre viennent d’être officialisées et que la campagne est censée s’ouvrir le 24 septembre, la situation sécuritaire en zone anglophone, où plusieurs dizaines de milliers de personnes sont considérées comme « déplacées internes », alimente des craintes sur le bon déroulement du processus électoral.À deux mois de la présidentielle camerounaise, une inconnue de taille demeure. La crise qui ronge depuis novembre 2017 la zone anglophone du Cameroun, où les combats entre groupes séparatistes armés et forces de sécurité ne cessent de s’intensifier, jette un grand flou sur le déroulement du scrutin dans la région