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Dans le calendrier, les jours se suivent mais ne se ressemblent pas. Depuis son lancement en 2002, le 15 février est la date de la Journée Internationale du Cancer de l’enfant.
Au calendrier des festivités, les célébrations des jours heureux succèdent parfois des matins plus sérieux, ils nous rappellent que les jours se suivent mais ne se ressemblent pas. Depuis son lancement en 2002, le 15 février et la date de la Journée Internationale du Cancer de l’enfant. Tandis qu’hier l’amour était à l’honneur, aujourd’hui c’est l’occasion d’informer et de sensibiliser la population aux cancers de l’enfant.
Situation du Cancer en 2019
Au fil des années, la prévalence du cancer infantile dans le monde ne cesse d’augmenter. Aussi, en Afrique, chaque année, de nombreux enfants sont diagnostiqués cancéreux et le nombre continue d’aller en hausse. Le cas de l’Algérie reste un exemple illustratif. Dans ce pays d’Afrique du nord, les professionnels de santé sont inquiets de l’augmentation des cas de cancer infantile. Enfin, les cas de cancer les plus souvent constatés chez les enfants sont leucémie, cancer du cerveau ou encore lymphomes. Les hémopathies malignes font partie du lot de cancer qui touchent les enfants.
Les prises en charge peu accessibles
Les cas de cancer chez les enfants sont assez fréquents. Cependant, les mécanismes de prise en charge des enfants cancéreux restent peu nombreux.En effet, la prise en charge des enfants cancéreux est particulièrement onéreuse. Par enfant malade, on peut dépenser jusqu’à trois millions (3 000 000) de francs CFA pour analyses et traitements.Aussi, c’est clair qu’avec un revenu moyen, très peu de parents pourraient s’engager pour les soins.
Par ailleurs, les structures mobilisées pour aider à la prise en charge de ces enfants n’ont pas la vie facile. Pour la grande majorité, elles sont cruellement confrontées à des difficultés d’ordre financier et surtout matériel.
Pour finir, malgré bien d’effort l’accès aux médicaments et équipements appropriés reste quelque peu difficile, surtout en Afrique. En fait, les recherches portent essentiellement sur les cancers des adultes. Et cela entraine une évolution croissante du nombre d’enfants qui meurent suite à un cancer.Pour ce qui concerne le Burkina, Dr kam estime que des efforts doivent être fournis car le cancer infantile est une réalité et le Burkina n’est pas en marge.
Wendemi Annick KABORE
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